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### Fic comm. # 8 Largo Winch: La Menace / Partie 1: L'Invasion ###
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MessagePosté le: 02 Aoû 2003 01:19 am    Sujet du message: Fic comm. # 8 Largo Winch: La Menace / Partie 1: L'Invasion Répondre en citant

Largo Winch: La Menace / Partie 1


Cette fan fiction a débutée sur le Ze-largo-winch-site.com dans la langue anglaise et se continue ici. Je vous la présente dans l’espoir que vous participerez en rajoutant une ligne, un ou deux paragraphe ou plus. Elle se continue aussi en langue anglaise dans la section Fan Fictions de ce site . Vous serez sûrement surpris de voir comment, dans les 2 cas, la fic tournera…et, si vous savez écrire en langue anglaise, venez aussi continuer l’autre…Vous pouvez commencer à poster à partir du titre La Menace – partie 2

Début de fic : Auteurs à l’origine : Alyssa, fio, Jessica

Largo était assis devant son bureau dans une position relaxante, ses deux pieds croisés au dessus de la pile de papiers et de contrats à signer qui était déposée sur son bureau quand soudainement son téléphone portable se mit à sonner.

-« Largo » dit-il avec une voix d’homme d’affaire.

-« Bonjour Largo » répondit une voix de femme. « Tu te rappelles pas de moi, mais je suis ta mère… »

-« Ex-ex-excusez-moi ? » Largo bredouilla.

-« Je suis votre mère. » la voix lui répondit.

-« Qu’est-ce qui me dit que vous n’êtes pas une chercheuse d’or cherchant pour de l’argent ? » Largo lui demanda, d’une voix soupçonneuse.


Au même moment, Joy frappa sur la porte a demi-ouverte puis entra dans la pièce. Largo lui fit signe de s’approcher.

-« Parce que j’ai des preuves. » fit la voix au téléphone. Largo qui était assis confortablement quelques instants plus tôt avant d’avoir cet appel, changea de position pour atteindre un stylo sur son bureau.

-« Lesquelles ? » lui répondit-il en écrivant sur un carnet en grosses lettres « JOY, RETRACE CET APPEL !!! »

Joy se déplaça à grande vitesse vers le second téléphone qui était tout proche, sur un autre bureau et commencea à enregistrer la conversation. Elle savait qu’elle devait se dépêcher d’insérer le code pour retracer l’appel avant qu’un autre appel eût lieu aussitôt que la conversation serait terminée.


- “Et quel genre d’information est-ce ? » dit-il impatiemment en s’adossant sur sa chaise.

-« Quelques informations concernant les circonstances de ma disparition de ta vie. » lui répondit-elle

-« Mais avant, » l’interrompit-elle, « Laisse moi te dire que tu as une sœur »…


Cet information en fut plus que Largo pouvait prendre. Il lui dit sur un ton sarcastique : « Laissez-moi deviner, j’ai aussi un demi-frère qui s’appelle Bob. »


Joy lui fit signe qu’elle avait retrace l’appel. La femme lui dit alors : « Non, tu n’as pas de frère, mais ta sœur s’appelle Jennifer. »

Largo lui répondit alors. « Merci pour votre appel, mais si vous étiez ma mère , OÙ ÉTIEZ –VOUS DONC PASSÉE ?”

Il raccrocha alors le téléphone et Joy lui demanda : « De quoi s’agissait-il ? »

-« Oh, rien Joy. » lui répondit-il. « Seulement un autre appel d’une femme prétextant être ma mère. Depuis que ce magazine de mode a publié ma photo et ma biographie, je reçoit régulièrement ce genre d’appel de gens qui prétendent être mes frères, mes sœurs et maintenant c’était le tour d’entendre parler de ma mère. »

-« Peut-être qu’on devrais tous les vérifier. » suggéra Joy.

-“Penses-tu que Kerensky en sera capable ?” lui demanda Largo.

-« Oh, ça ne lui prendra pas trop de temps. Après tout, il est le grand Kerensky.”

Largo lui sourit.

Elle appela Kerensky à partir de son portable.

-« Oui Joy.” Répondit-il.

-« J’ai un numéro de téléphone à faire vérifier, t’es occupé ? »
-« Oui, très occupé.” Dit –il. “Si t’appelle ca occupé de battre le champion d’échecs en ligne pendant que je télécharge illégalement quelques dossiers secrets du FBI…Donne-moi une heure de plus. »

Elle raccrocha.

-« Largo, quelles sont les chances que cette fois c’est ta vraie mère ?”

-« Je ne sais pas si aucuns des gens qui ont appelé disent vrai – il y en a tellement que c’est en train de me rendre fou. Je devrais peut-être arrêter de donner des interviews !”

-« Bon, nous verrons bien ce que dit Kerensky , peut-être qu’il y a d’autres motifs derrière ces appels. » dit Joy.

-« Oui, sûrement quelque chose comme de l’argent.” répondit Largo.



Ca lui prit beaucoup de courage à cette dame d’avoir appelé Largo. Elle se doutait qu’il allait réagir de cette façon mais elle savait qu’elle lui devait la vérité, spécialement maintenant. Elle avait appris la mort de Nério seulement après son retour d’Afrique.

L’Afrique. Un pays où elle avait passé trop de temps, spécialement après le marché qu’elle avait conclut avec Nério. Il ne lui avait pas laissé le choix après la naissance de son fils et, maintenant qu’il était mort, Largo méritait de savoir la vérité.

Elle décida de tenter sa chance en appelant encore le Groupe W, mais cet fois-ci l’appel serais pour John Sullivan. Il connaissait Nério mais pas assez qu’elle espérait car Nério était très habile à garder des secrets.

-« Sullivan, » dit John à la deuxième sonnerie.

-« Monsieur Sullivan, j’ai besoin de vous parler d’urgence. » fit la voix de cette femme qu’il avait déjà entendu avant et qui le surprit.

-“Que puis-je faire pour vous ?” lui demanda-t-il.

-« Venez me rencontrer au Carnegie Deli dans 10 minutes. Je porterai un foulard rouge. C’est vraiment important. » lui demanda t-elle d’une voix suppliante. “Je suis désolée, je ne puis en dire plus au téléphone.”


Sullivan réfléchit un moment puis décida que s’il était assez prudent, tout se passerait bien.

-« Ok, j’y serai. » dit-il. « Mais ça risque de me prendre plus que 10 minutes. »

-« Je vous verrai alors. » la voix lui répondit. Il raccrocha et appela Kerensky.




-« Quoi ? » répondit Kerensky, un peu ennuyé.

-« T’es occupé ?” lui demanda Sullivan.


-« Comme d’habitude. Que puis-je faire pour toi ? »

-“D’où provient exactement l’appel que je viens de recevoir ?

-« Un instant… » Sullivan pouvait entendre Kerensky cliquant sur les touches de son ordinateur. « Tiens, c’est le même numéro qui a appelé Largo il y a 10 minutes – quelqu’un qui prétendait être sa mère, si j’ai bien compris. Le numéro provient du Carnegie Deli, c’est tout proche d’ici. »

-« Elle veut me rencontrer dans 10 minutes. Peux-tu m’accompagner ? Je sais que Simon et Joy sont très occupés. » dit Sullivan.

-« Je suppose que je pourrais. Mais ne le dit pas à Largo, il voudra que fasse plus de travaux pratiques à l’extérieur. »



Elle su qu’elle était suivie la minute qu’elle pénétra l’entrée du Carnegie Deli.

« Oh non, » pensa-t-elle. « Pas encore eux. Quand me laisseront-ils en paix ?… »


Nério avait pensé à tout. En ce temps-là ils avait engagé des serviteurs loyaux pour l’espionner en Afrique et lui rapporter tout ses mouvements. Elle avait reconnu l’un d’entre eux, le même qui n’avait pas été assez prudent quand elle l’avait surpris à poser des questions…

Quelqu’un doit sûrement avoir remplacé Nério et recevoir toutes ces informations maintenant. Quelqu’un de son passé qui a bien connu Nério. Mais qui ?

Elle plongea vers une table au fond du restaurant et s’assit avec son dos face à l’entrée. Avec un peu de chance, Sullivan allait arriver et les autres hommes partiraient. Elle fit semblant de consulter son menu, débattant intérieurement si oui ou non elle devait commander quelque chose.

Sullivan et Kerensky marchèrent à l’intérieur du restaurant quelques minutes plus tard. Kerensky repéra facilement son foulard rouge, mais il remarqua aussi quelques hommes qui lui étaient familiers et dont il ne pouvait se rappeler d’où il les avait vu. Il se pencha vers Sullivan et lui chuchota :

-« Dirige-toi vers les toilettes. Je vais faire le contact, après il faut filer d’ici. »

Sullivan lui fit signe que oui et partit. Kerensky retourna sur ses pas, indifférent, donnant l’apparence qu’il cherchait pour une table. Il s’arrêta proche d’elle et se pencha, lui demandant :



-« Est-ce que cette table est prise Madame ? » Elle le regarda et il lui sourit. Il lui dit en chuchotant alors : « Sullivan est à l’extérieur. Dirigez vous vers les toilettes et prenez la porte de derrière. Je vous suis . »


Georgie sut que quelque chose n’allait pas la minute qu’il les vit se lever et se diriger vers eux rapidement, 2 d’entre eux avec leurs armes prêtes à tirer.

-« COUREZ ! » cria-t-il a cette femme pendant qu’il atteignit un de ses 2 pistolets qu’il portait habituellement.

Elle commenca a filer vers la sortie la minute qu’elle entendit le premier coup de feu derrière elle. Elle entendit encore quelques coups, cette fois ci provenant de Kerensky. Elle était proche de la sortie quand soudainement elle sentit une douleur atroce dans sa jambe droite. Un coup de feu l’avait touché.

Juste de l’autre côté de la porte, Sullivan les attendait dans sa voiture…

Kerensky tira précisément, visant dans les genoux des hommes, un par un. Parmi les cris des autres clients du Deli, il se précipita à travers la porte et se rendit facilement vers la dame qui boitait. Il remit son arme dans son étui et l’aida à courir. Ils arrivèrent dans la voiture, essoufflés. Sullivan était surpris.

-« Mais que s’est-il passé là-dedans ? » s’exclama-t-il.

-« Je t’en parlerai plus tard. » dit Kerensky. « Allons-y. Je pense que cette dame a une histoire à nous raconter et je parie qu’elle s’en sera un bonne. »


Elle avait très mal. Sa jambe saignait beaucoup. Kerensky lui fit un bandage avec un morceau de sa robe et le roula bien serré tout autour de sa blessure pendant que Sullivan conduisait. Kerensky appela alors Largo pour qu’il y eut d’urgence un docteur à son appartement.

-« J’ai besoin d’aller à un hôpital pour ça.” dit-elle, les voyant s’approcher de l’édifice du Groupe W.

-« Ne vous en faites pas madame. » lui répondit Sullivan. « Largo a un très bon médecin qui va vous arranger ça . D’ailleurs, il rajouta, si on vous amène à l’hôpital ils risquent de vous retrouver encore. »

Kerensky amena la femme du stationnement du garage jusqu’à l’ascenseur. Quand ils furent à l’intérieur il pesa sur le bouton allant au penthouse.

-« J’espère qu’on va éviter les autres. » dit Kerenksy. « Il pourrais y avoir beaucoup de commérages là-dessus. »
-« Je suis sûr que Largo aura tout mis au clair et sera prêt. » dit Sullivan. Ils arrivèrent au niveau supérieur et Kerensky leva encore la dame, l’amenant dans le penthouse.

-« Quel est votre nom ? » lui demanda-t-il, réalisant qu’il avait oublié de lui demander avant.

-« Oh, pardonnez-moi. » lui répondit-elle. « J’ai oublié de me présenter. Mon nom est Rachel. Merci de prendre soin de moi. »

Comme il pénétrèrent dans le penthouse, l’infirmière les dirigea vers une petite table d’opération improvisée. Près d’eux il y avait de l’équipement médical portable et une couple de sacs de sang dans une glacière. Le médecin privé de Largo vint et s’occupa d’elle.

Peu de temps passa…

-« Elle a été chanceuse. » leur dit le médecin quand il eut fini. « La balle a seulement atteint légèrement un des muscles. »

Largo, qui n’était pas encore arrivé, traversa la porte et la vit de loin. Il s’arrêta pour l’observer, étant certain de l’avoir déjà vu à quelque part mais n’arrivais pas à se rappeler. Peut-être avait-elle déjà été spectatrice d’une de ses courses de motocross quand il était adolescent.

Il s’avança et alla parler à Kerensky.

-« Qu’est ce qui s’est passé ? Va t-elle s’en sortir ? » dit-il d’un air intéressé.

-« Elle va bien. » lui répondit Kerensky. « Heureusement que sa blessure n’est pas trop profonde et elle va bien guérir. Pour ce qui est de ce qui s’est passé, j’aurais souhaité que ça n’eut pas arrivé. J’espère que les policiers ne viendront pas après moi pour avoir estropié ces trois hommes. »

-« Je suis sûr que nos avocats sauront arranger ça s’il y a un problème.” Le rassura Largo.

-“Salut Largo.” Dit Rachel, tremblante et encore pale dû au choc et à la perte de sang.


Il la regarda et se souvint de la dernière fois qu’il lui avait parlé. Il avait été très impoli avec elle, lui raccrochant au nez , sans lui donner une chance de s’expliquer.

-« Je suis désolé que vous ayez dû subir tout ça pour me rencontrer. » lui dit-il.

-« Ne le soit pas, Largo. » lui répondit-elle. « Je suis vraiment contente de te voir finalement de près. Ca fait tellement longtemps… »


Largo, qui n’était pas encore convaincu qu’elle était sa mère lui demanda:

-“Si vous êtes ma mère, où étiez-vous passé toutes ces années ? »

-« Juste comme Nério te voyait rarement, il m’avait défendu de t’approcher. » lui dit-elle. « Il avait trop peur que la Commission devinerais. Ton père et moi étions des compagnons très connus à une époque. »

Largo n’était pas sûr s’il devait la croire.

-« C’est plutôt commode, n’est-ce pas ?” lui demanda-t-il.

-« Je suppose. Mais j’ai une chose à te dire qui te fera croire en moi.” Lui répliqua-t-elle.

-“Tu as une marque de naissance sous ton pied droit, n’est-ce pas ? lui demanda-t-elle.

-“Oui, c’est vrai. » dit-il. « Mais n’importe qui aurais pu la remarquer pendant que je me faisait griller au soleil sur la plage. »

Elle commença à se sentir fatiguée et avait besoin d’un peu de temps pour elle-même pour penser à un moyen de le convaincre. Ce serais très difficile de lui donner des preuves car Nério s’était arrangé pour tout cacher du début, incluant la disparition de toutes traces sur papier depuis sa naissance, sans même l’enregistrer. Sa sacoche lui avait été volé un fois et son appartement en Afrique fouillé. Elle n’avait même plus une photo à lui montrer.

Voyant qu’elle avait un air un peu confus, Largo lui dit :

-« Écoutez, vous pouvez rester dans mon appartement pour un bout de temps. Vous y serez en sécurité. Je vais faire ma propre enquête si ça vous dérange pas. »

-« Oui, merci. » il l’entendit dire.

Il la regarda quelques instants puis décida d’aller rejoindre Kerensky qui l’attendait au bunker.

-« Ca pourrais bien être ta mère, Largo” dit Kerensky.

-« Que veux tu dire ?”

-« Qu’avec un test d’ADN positif, ça confirmerais que c’est ta mère. »

Le lendemain Largo appela le bureau privé de son médecin qui lui envoya une infirmière à son penthouse. Rachel était d’accord pour passer un test d’ADN.


L’infirmière nettoya la blessure et s’occupa du reste et pris aussi un échantillon du sang de Rachel et Largo pour le test d’ADN.


-« Combien de temps ça risque de prendre ? » demanda Rachel.

-« Oh, le test prend 5 jours pour être complété. » lui répondit-elle.

Pendant ce temps, à quelque part en Europe, Jennifer admirais le soleil doré à travers la fenêtre du train qui la transportait dans la ville qui allait changer sa destinée à jamais. Elle avait vécu avec son père toute sa vie et, il y a une couple de jours seulement, juste avant son 21ième anniversaire, elle avait reçu une lettre de la seule personne qu’elle avait toujours voulu connaître : sa mère Rachel.

Rachel avait réussi à lui poster cette lettre d’Afrique sans être suivie, le même jour qu’elle su que Nério était mort. Dans cette lettre, Jennifer apprit qu’elle avait un demi-frère nommé Largo à quelque part en Amérique et qu’elle devait récupérer quelque chose qui était dans une banque Suisse. Dans l’enveloppe il y avait aussi tout les papiers nécéssaire pour qu’elle aie accès à ce coffret ainsi qu’une clef.

Elle fut avertie d’être extrêmement prudente et qu’elle devait remettre ce qu’il y avait dans ce coffret à son demi-frère Largo. « Il saura quoi faire »: sa mère avait écrit.


-« Pourquoi les tests d’ADN prennent tellement de temps ? » demanda Largo

-« Des retards au laboratoire sûrement.” Lui répondit Kerensky. « Si le Groupe W aurait leur propre laboratoire ici, j’aurais pu m’en occuper pour toi. »

-« Je vais m’en souvenir la prochaine fois » dit Largo en plaisantant.

-« C’est un procédé assez simple d’ailleurs. On sait déjà que Nério est ton père, alors la moitié de ton ADN est identique à la sienne. L’autre moitié sera comparée avec l’ADN de Rachel. Si c’est identique, alors elle serais votre mère.” lui dit Kerensky.



(traduction de la suite bientôt...)


Dernière édition par fio le 27 Déc 2003 09:49 pm, édité 1 fois
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fio
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MessagePosté le: 28 Sep 2003 05:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

(suite de la traduction)

Auteurs à l’origine : Alyssa, fio, Jessica


-“ Je vois. Je commence à me demander si elle nous a dit la vérité.” Dit-il

- “Possiblement. Elle me semble sincère.”

- “On serais mieux de retourner au penthouse.” dit Largo. Je voudrais pas que Joy passe tout son temps à la surveiller. »


Le médecin et l’infirmière étaient partis. Joy était là en train de surveiller Rachel. En effet, Rachel avait une légère ressemblance avec Largo, du moins, quelques traits apparents. Joy sentait que Rachel cachait quelques informations et elle était déterminée à les découvrir. Rachel s’était maintenant endormie.

Dix minutes plus tard Largo et Kerensky entrèrent. Joy pu enfin prendre congé. Elle aimait vraiment se tenir avec eux mais ces jours-ci, elle avait plutôt besoin de prendre un petit congé. Comme elle sortait de l’ascenseur du Goupe W et commençait à marcher vers sa voiture, elle fut surprise par une couple de mains qui l’empoignèrent par derrière et un torchon sentant le chimique appliqué sur sa bouche et son nez. Elle essayait de donner des coups de pied à ces hommes masqués mais éventuellement, elle finit par céder, tombant inconsciente. Il la traînèrent vers leur voiture aux vitres teintées et l'amenèrent au loin.

Plusieurs heures plus tard, le téléphone portable de Largo se mit à sonner.

-« Largo. » répondit-il.

-« Monsieur Winch, » dit une voix de vieil homme. « Nous avons en notre possession votre garde du corps personnel. Maintenant écoutez attentivement… »

-« J’écoute. » dit Largo. « Que voulez-vous de moi ? »

-« De vous ? » demanda le vieil homme. « Rien. C’est de la vieille femme que votre équipe a si brillamment sauvé aujourd’hui. Elle a quelque chose en sa possession qui nous appartient..."


Le train arriva à Zurich et s’arrêta finalement. Jennifer se leva et ramassa sa sacoche et sa mallette. Elle sortit du train et alla s’informer à l’intérieur de la station. Autant en finir avec ça, pensa-t-elle. Une demi-heure plus tard, elle avait fini par sortir de la station en autobus et loua un véhicule. Il faisant encore clair dehors et les banques étaient encore ouvertes au public. Elle se dirigea vers le centre-ville et commença à se chercher un hôtel décent pouvant la loger un jour ou deux. Quand elle en trouva un, elle y réserva une chambre, se ramassa quelques trucs à manger en chemin et commença à chercher la banque. En chemin elle se demanda si sa mère lui avait laissé de l’argent en dépôt à cette banque et si oui, elle cherchait sûrement à protéger ses actifs des détectives trop fouineurs.

Pendant ce temps au Groupe W, Largo n’était pas content des évènements qui se passaient. Joy avait été enlevée et la vieille femme restait dans son penthouse avait quelque chose à voir avec tout ça. Il avait laissé une Rachel endormie avec Simon pour la surveiller et expédié Kerensky au Bunker pour retracer l’appel.

-« L’appel vient d’un téléphone payant au Canada. » dit Kerensky. « Toronto, pour être précis. »

-« Mais pourquoi l’auraient-ils amenée là-bas ? » demanda Largo.

-« Peut-être qu’ils sont Canadiens ? » suggéra Kerensky. « Ou bien ils ont beaucoup d’aide. »

-« Simon et moi allons prendre le Bizjet vers Toronto. » décida Largo. « Tu peux t’occuper de tout avec Sullivan pendant notre absence ? »

-« Pas de problème. » dit Kerensky. « Je vous appelle dès que j’ai des nouvelles sur les ravisseurs de Joy. Peut-être que Rachel les connaît. »


Pendant ce temps, Jennifer arriva devant la Banque de Crédit et entra. Elle alla attendre en ligne et fit une requête pour avoir accès au coffret de dépôt que sa mère lui avait demandé de ramasser dans sa lettre. Quelques moments plus tard, elle fut menée dans une grande pièce à l’arrière de la banque et fut priée d’attendre pendant qu’un employé alla chercher le coffret. Il fut amené devant elle et déverrouillé devant elle puis il la laissa seule pour qu’elle puisse en examiner le contenu.

A l’intérieur il y avait une autre coffret plus petit avec lequel la clé que sa mère lui avait envoyé pouvait l’ouvrir. Il y avait aussi quelques titres ou contrats, des documents et un petit revolver. Elle prit le tout et remplit le grand sac qu’elle avait amené avec elle. Elle alla ensuite voir un commis pour se renseigner plus sur les documents. Il lui apprit que sa mère lui avait laissé $500,000 en bons il y a 20 ans et que maintenant ça valait une petite fortune. Il lui demanda aussi si elle voulait retirer de l’argent liquide de la banque et l’informa que ça lui coûterait 35% en taxes sur l’intérêt gagné et qu’elle pouvait le réclamer plus tard après avoir rempli un formulaire. Elle hésita et lui dit que non, pas pour l’instant, peut-être plus tard… Elle quitta la banque et s’en alla à son hôtel, là où elle s’était enregistrée sous un faux nom. Elle se rendit vers sa chambre et demanda pour le service aux chambres.

Maintenant qu’elle avait en sa possession ce que sa mère lui avait demandé, il était temps de rechercher son demi-frère nommé Largo Winch. Elle appela et demanda l’assistance par téléphone et on lui donna finalement le numéro du Groupe W.

Largo était parti avec Simon plusieurs heures auparavant. Joy était manquante et un garde du corps surveillait Rachel. Sullivan était en charge et Kerensky était seul au Bunker.

-« Goupe W, comment puis-je vous être utile ? » répondit Sullivan.

-« Puis-je parler à Monsieur Largo Winch, s’il vous plaît ? » demanda Jennifer.

-« Je suis désolé, il n’est pas disponible pour le moment. Puis-je vous aider ? » demanda Sullivan.

-« J’ai vraiment besoin de parler à Monsieur Winch. » dit-elle. « C’est important. C’est au sujet de ma mère. »

-« Et qui est votre mère ? » demanda Sullivan.

-« Son nom est Rachel. » dit-elle

-« Alors vous êtes sa demi-sœur ? » demanda Sullivan.

-« Oui. Et c’est urgent que je parle à Largo. » répondit-elle.

-« Malheureusement il est absent mais voici ce que vous pouvez faire… »

-« Kerensky, j’ai besoin que tu partes rencontrer une femme à Zurich » dit Sullivan après avoir appelé au Bunker.

-« Une assignation John ? » dit Kerensky en taquinant.

-« Presque. » répondit John avec un rire étouffé. « Mais, pour être sérieux je viens de recevoir un appel de la fille de Rachel. Elle est à Zurich et on dirait qu’elle a quelque chose à voir avec ce qui se passe présentement… »


Ailleurs dans le monde…

-« Bingo ! » dit le jeune homme au téléphone à Monsieur Smith. « Nous savons où elle est maintenant. »


Ronald était le meilleur hacker disponible que Monsieur Smith avait pu trouvé. La nouvelle femme de ménage nouvellement engagée au Groupe W avait bien fait son job et John Sullivan n’était pas conscient que son téléphone était sous surveillance. Avec le premier appel que Sullivan avait reçu ils était capable de localiser Rachel la première fois au restaurant. Maintenant c’était le tour de sa fille…

-« Elle a une fille, boss, et elle loge dans un hôtel du centre-ville à Zurich » dit-il à Monsieur Smith au téléphone.

-« Merci Ronald » lui répondit-il. « Je pense que vous méritez une promotion. Continuez à travailler sur les codes d’accès du Groupe W… »


Ronald était un type intelligent. Il avait été capable de passer à travers le premier set de codes et brouiller le système de caméras du Groupe W quand Joy fut enlevée.

Monsieur Smith alla à son bureau et appela son équipe à Zurich. Il savait que Sullivan enverrait probablement quelqu’un là-bas. Peut-être que Rachel leur avait tout dit, pensa-t-il. Non, elle ne ferait pas une chose aussi stupide : mettre en danger la vie de sa fille en racontant tout aux gens du Group W…



(suite de la traduction bientôt...)
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MessagePosté le: 18 Oct 2003 01:59 am    Sujet du message: Répondre en citant

Suite de la fic. Auteurs: Alyssa, fio, Jessica. Postée sur le ze-largo-winch-site il y a pas longtemps de celà, avant que le site devienne le largowinch.net...


Pendant ce temps, Kerensky partit chez lui pour faire ses valises. Largo et Simon se rendirent à Toronto en suivant les instructions que Kerensky leur avait laissé, se rendant jusqu’à la cabine téléphonique qui avait servie aux ravisseurs pour appeler au Groupe W.

-"Pourquoi les ravisseurs se servent toujours de téléphones dans les endroits industrialisés ?" se plaignit Simon. "Ils peuvent pas se trouver des endroit au centre ville plus gais, comme là où sont les clubs ?"

"Calme-toi Simon." dit Largo. " J’ai besoin d’appeler Kerensky pour voir s’il a trouvé autre chose. Et il faut que j’appelle John pour savoir comment se porte Rachel."

Largo mit une quantité de pièces dans le téléphone payant et essaya d’appeler au Bunker. Le répondeur de Kerensky lui fit entendre le message habituel. Largo laissa son message et raccrocha. Il s’essaierait plus tard, peut être que Kerensky y serait. Sullivan devait sûrement être parti à cette heure là et maintenant ils devaient attendre.

Ronald était un gars ambitieux. Ses connaissances en piratage l’avait rendu célèbre par le fait qu’il avait piraté plusieurs fois les réseaux de Microsoft que les clients se servaient pour héberger des sites internet. Il s’était fait pincer qu’une seule fois et heureusement pour lui, Monsieur Smith avait été là pour payer sa caution. Ca ne lui prit pas longtemps pour trouver le dernier code d’accès au Groupe W. Maintenant il était temps de dealer avec Monsieur Smith…

Une heure plus tard, le deal était fait. Il avait le montant requis transféré dans son compte et leur demanda de le laisser un moment après qu’il leur eut donné les codes recherchés. Pendant ce temps, il en profita pour retransférer un gros montant d’argent dans un autre compte seulement connu de lui pendant que Monsieur Smith ordonnait à son autre équipe d’envahir la tour du Groupe W et lui ramener Rachel…

Il faisait noir dehors quand une douzaine d’hommes armés, équipés de leur casque de vision nocturne prirent d’assaut la tour du Groupe W. Ils avaient réussi à couper l’électricité dans tout le bâtiment..

Il était aussi très tard lorsque Kerensky arriva à l’aéroport de Zurich, sortant du dernier jet privé que Largo venait d’acquérir. Une auto l’attendait, prête à l’amener à l’hôtel où était Jennifer.

Jennifer était assise sur son lit d’hôtel et observait le fameux coffret que sa mère lui avait laissé. Finalement elle allait découvrir ce qu’il contenait. Elle était là, la clé à la main et prête à l’ouvrir quand soudainement elle entendit un léger cognement sur la porte. Elle se leva et alla ouvrir. C’était le service aux chambres qui lui amenait la collation qu’elle avait commandé. Elle donna un pourboire, remercia le garçon et ferma la porte. Elle était sur le bord de s’asseoir quand le téléphone sonna.

-" Mademoiselle ? Il y a une voiture pour vous, du Groupe W.”

- “Une voiture ? Peux-tu dire au chauffeur de venir me rejoindre ?” demanda-t-elle.


Kerensky venait d’arriver à l’hôtel. Il alla vérifier à la réception pour la fille de Rachel.

-« Une voiture est arrivée récemment pour elle, du Groupe W aussi. » lui dit le commis. « Ils viennent de monter à l’étage. »

Kerensky fronça les sourcils. Il laissa son sac à la réception avec ses instructions et se précipita vers l’ascenseur.

Il se rendit à l’étage où était Jennifer et entendit un cri . Il sortit son arme et se précipita dans le hall. La porte de la chambre de Jennifer était partiellement ouverte et un homme avec un capuchon foncé la tenait et essayait de la traîner hors de la pièce. Cependant elle luttait et se défendait bien.

-« Arrêtez !” commanda Kerensky.

L’homme le vit et sortit son arme, laissant tomber Jennifer. Kerenksy tira avant que l’homme eu le temps de tirer son premier coup de feu. L’homme laissa tomber son arme lorsqu’il recut une balle dans son épaule. Il mit sa main sur sa blessure et s’enfuit par la porte, se cogant sur Kerensky en sortant. Kerensky le laissa aller pour le moment car il voulait aider Jennifer à se relever.

- « Est-ce que ca va ? » demanda-t-il.

Elle leva lentement son visage vers lui pendant qu’il lui tendit sa main, l’aidant à se relever. Elle se sentit troublée après avoir l’avoir fixé dans ses yeux gris bleus. Elle l’avait appercu brièvement pendant la lutte et maintenant elle le voyait au repos. Ses yeux étaient de la même couleur que ceux de l’un de ses anciens amis qui l’avait quittée pour une autre fille. Mais lui, il était différent. Ses longs cheveux, couleur de feu lui donnait un avantage, lui rappelant les couleurs d’un de ses animaux favoris.

En lui donnant sa main pour l’aider à se relever, il se sentit surpris de sa propre réaction en la voyant le fixer de ses yeux couleur azur. Ses longs cheveux bruns lui rappelèrent une autre femme qui appartenait à son passé. Une femme qu’il avait aimé et qui lui avait été cruellement enlevée, mourrant dans de circonstances affreuses.

- « Oui ca va. » lui avait-elle dit pendant qu’il la fixait du regard.

- “Sortons d’ici avant qu’ils ne reviennent avec leurs amis. » dit Kerensky.

- “Attends, je vais allez chercher mes affaires. » lui dit-elle.

Elle commença a empaqueter rapidement ses affaires sans oublier le coffret qu’elle avait laissée sur son lit, ses papiers et sa clé.

- « Voilà.” dit-elle en lui tendant la boîte. « Ceci est pour Largo, mais je vais garder la clé en attendant. »

Il prit le coffret et ses sacs et ils sortirent prendre l’ascenseur. Elle paya sa note et il ramassa ses affaires. Ils coururent ensuite vers l’aire de stationnement.

Kerensky avait raison. Pas loin, il y avait 2 voitures et des hommes armés qui les attendaient.

-“Vite !” dit-il. « Embarque. »


Il partit la voiture et comme prévu, les 2 autres voitures commencèrent à le suivre. Il ne pouvait pas aller à l’aéroport car il savait qu’ils seraient probablement interceptés. Il devait alors trouver une autre solution.

Kerensky freina soudainement et fit un demi tour abrupt, espérant les perdre de vue. Aucune chance. Ils en firent autant. Il commençait à manquer d’options.

-« Est-tu capable de tirer ? » il lui demanda. Elle était surprise.

-« Hmm, je pense bien. » dit-elle.

-« Regarde dans la boîte à gants, il y a un 9mm. » dit Kerensky. « Au prochain tournant à droite, tu auras la chance de tirer sur leur pneus. C’est la seule manière de les ralentir. »

-« D’accord. » dit-elle nerveusement, en tenant l’arme. Elle fit descendre la vitre de la voiture, assez pour lui donner de la place pour tirer. Kerensky prit le prochain tournant vigoureusement. Elle se pencha rapidement et tira 3 coups avant qu’elle ne fut hors de portée. Ils ne pouvaient pas voir ce qui était arrivé mais ils entendirent le cri perçant de la voiture qui les suivaient, hors de contrôle.


Kerensky regarda dans son rétroviseur et vit le premier véhicule caréner hors de contrôle sur la rue. Le second, cependant, avait réussi à les suivre.

Ca faisait un bon moment que les deux n’avaient pas dormi et ils avaient besoin de repos. Maintenant ils avaient ces fous qui les suivaient, leur tirant encore dessus avec leur mitraillettes, ne voulant pas lâcher prise.

- « Baisse ta tête. » dit-il à Jennifer, la minute qu’une couples de balles avaient atteintes la vitre arrière, faisant de milliers de fissures comme une toile d’araignée

Kerensky était content d’avoir choisi ce véhicule blindé au centre de location. Il était aussi content d’avoir un patron qui n’était pas radin et qui lui avait donné une large marge de crédit pour ses dépenses.

- “J’ai bien peur que cette voiture n’aie pas le niveau de protection de blindage contre leur AK-47.” dit-il.”


Ils furent chanceux. Le trafic commençait à s’alourdir et ils purent mettre une couple de véhicules entre eux et leurs agresseurs. Pas pour longtemps cependant. Ils devaient trouver une solution rapidement. La solution vint à Kerensky quand il vit une sortie à sa droite. Il coupa rapidement à travers 3 voies, sortant de la vision de leurs agresseurs qui eux, trop lents à réagir, continuaient leur route sur le chemin principal.

Kerenksy savait qu’ils allaient être retrouvés à un moment donné mais maintenant , tout ce qu’il avait besoin était le repos. Peut-être louerait-il un hôtel avec vue sur les Alpes. Il était aussi content de voir que cette pauvre fille apeurée à ses côtés s’était sortie de cette expérience courageusement et se sentait maintenant soulagée.

- « Merci. » lui dit-elle.

Finallement Kerensky décida de ne pas s’arrêter pour se reposer. Pas tout de suite en tout cas car il y avait toujours la possibilité qu’ils pouvaient être repérés en hélicoptère. L’Allemagne était tout près et en conduisant vers ce pays, il pensa qu’il aurais le choix d’une couple d’aéroports pour leur fuite.

Fatiguée, elle s’était endormie. Elle avait l’air belle avec ses longs cheveux tombant partiellement sur sa figure qui était reposée sur le siège. Sa belle blouse blanche la mettait en valeur et il la regarda rapidement pendant qu’il conduisait pour pouvoir oublier ce qui était arrivé il y avait une demi-heure. Un autre évènement qu’il ne se pardonnerait jamais à lui-même. A partir d’une cabine téléphonique, il avait appelé au siège du Groupe W et fut consterné d’entendre à l’autre bout du fil une voix lui disant : « A partir de maintenant, je contrôle le Groupe W. Amène nous la fille de Rachel et nous épargneront sa mère… »

Ce qui le mit encore plus en colère c’est que cette voix lui parvenait de son propre espace, l’endroit où il passait la majorité de son temps, sa forteresse: Le Bunker du Groupe W…

Il avait conduit un long moment et décida de prendre du repos à l’hôtel Palace Weitenburg en Allemagne. Une bonne place où se cacher et proche de plusieurs aéroports.

Pendant ce temps à Toronto, Largo était fatigué de suivre Simon partout et s’inquiétait du fait que personne au Groupe W ne répondait à ses appels. Il avait essayé plusieurs fois et espérait rejoindre Kerensky.

Au Bunker du Groupe W, Ronald essayait activement de trouver un moyen de transférer la majorité de la fortune du Groupe W dans quelques comptes cachés sous la surveillance de Monsieur Smith. Il avait trouvé le mot de passe de Kerensky et avait maintenant le plein accès...


Vous pouvez jeter un coup d’oeil à l’endroit où Kerensky et Jennifer sont loges au:

http://www.germany-castles-hotels.com/weitenburg/

Suite de la traduction dans la Partie 2 bientôt...


Dernière édition par fio le 08 Nov 2003 01:49 am, édité 1 fois
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MessagePosté le: 08 Nov 2003 01:47 am    Sujet du message: Répondre en citant

Suite de cette fic dans la Menace / Partie 2...
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