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### Fic comm. # 8 Largo Winch: La Menace / Partie 2 ###
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fio
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MessagePosté le: 08 Nov 2003 01:56 am    Sujet du message: Fic comm. # 8 Largo Winch: La Menace / Partie 2 Répondre en citant

Largo Winch: La Menace / Partie 2


Voici la traduction de la suite de cette fic. Mais d'abord, je copie les derniers paragraphes de la Partie 1...

Finallement Kerensky décida de ne pas s’arrêter pour se reposer. Pas tout de suite en tout cas car il y avait toujours la possibilité qu’ils pouvaient être repérés en hélicoptère. L’Allemagne était tout près et en conduisant vers ce pays, il pensa qu’il aurais le choix d’une couple d’aéroports pour leur fuite.

Fatiguée, elle s’était endormie. Elle avait l’air belle avec ses longs cheveux tombant partiellement sur sa figure qui était reposée sur le siège. Sa belle blouse blanche la mettait en valeur et il la regarda rapidement pendant qu’il conduisait pour pouvoir oublier ce qui était arrivé il y avait une demi-heure. Un autre évènement qu’il ne se pardonnerait jamais à lui-même. A partir d’une cabine téléphonique, il avait appelé au siège du Groupe W et fut consterné d’entendre à l’autre bout du fil une voix lui disant : « A partir de maintenant, je contrôle le Groupe W. Amène nous la fille de Rachel et nous épargneront sa mère… »

Ce qui le mit encore plus en colère c’est que cette voix lui parvenait de son propre espace, l’endroit où il passait la majorité de son temps, sa forteresse: Le Bunker du Groupe W…

Il avait conduit un long moment et décida de prendre du repos à l’hôtel Palace Weitenburg en Allemagne. Une bonne place où se cacher et proche de plusieurs aéroports.

Pendant ce temps à Toronto, Largo était fatigué de suivre Simon partout et s’inquiétait du fait que personne au Groupe W ne répondait à ses appels. Il avait essayé plusieurs fois et espérait rejoindre Kerensky.

Au Bunker du Groupe W, Ronald essayait activement de trouver un moyen de transférer la majorité de la fortune du Groupe W dans quelques comptes cachés sous la surveillance de Monsieur Smith. Il avait trouvé le mot de passe de Kerensky et avait maintenant le plein accès...

Vous pouvez jeter un coup d’oeil à l’endroit où Kerensky et Jennifer sont loges au:

http://www.germany-castles-hotels.com/weitenburg/


Dernière édition par fio le 30 Oct 2004 01:50 pm, édité 2 fois
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fio
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MessagePosté le: 08 Nov 2003 02:11 am    Sujet du message: Répondre en citant

C’était le début de la matinée et certains employés du Groupe W commençaient à franchir les marches qui les menaient aux portes tournantes, à l’entrée de l’édifice du Groupe W. Ils ignoraient que leur moindre mouvements étaient capturés sur les caméras de surveillance installées tout autour de la surface extérieure du building.

Les employés qui travaillaient à la cafeteria furent les premier à franchir les portes tournantes. A l’intérieur, à quelques metres plus loin il furent acceuillis par des hommes masqués, équipés d’armes automatiques pointées dans leur direction. Ils furent calmement fouillés et invités à se rendre vers la plus grande salle sans fenêtres au premier étage du Groupe W. Ils serviraient d’otages, au besoin…

Des explosifs avaient été installés par les hommes durant la nuit aux endroits stratégiques dans la tour, juste au cas…

Dehors, Alicia Del Ferril sortait de son taxi devant la majestueuse tour du Groupe W. Elle fut surprise de voir Michel Cardignac arriver au loin en courant. Probablement que sa Ferrari était encore en réparation, pensa-t-elle. Il la vit et lui fit signe de l’attendre.

Le voyant arriver, elle l’accueillit avec son rire sarcastique.

- "Alors Michel," dit-elle. " Encore des problèmes avec votre voiture ?"

Il ne lui répondit pas. Lui fit seulement une grimace et sourit , puis, se retourna et commença à grimper les marches qui se rendaient vers l’entrée. Elle le suivit derrière. Dès qu’ils furent passés à travers les portes tournantes, ils furent eux aussi accueillis par des homme masqués, armes pointées dans leur direction…


Le Major Williams, un ex-agent de la CIA était en charge de l’opération et devait être sûr que tout se passerait selon les plans originaux. Ca ne lui avait pas pris beaucoup de temps pour réunir ses camarades de la CIA, quelques ex-militaires et quelques anciens gradués des Forces Armées pour faire tout l’ouvrage. Son nouveau partenaire, faisant partie d’une société secrète était au courant qu’il porterait cette opération à leur satisfaction, spéciallement après avoir appris quelques mois auparavant qu’ils avaient le même but : se débarasser de Largo Winch…

En achetant une de leur plus grande et prometteuse compagnie high tech au Nouveau Mexique, Largo Winch avait créé de nombreux nouveaux emplois. Le président de la compagnie, un des recrutés les plus prometteurs du Major Williams avait été remplacé et s’était fait mettre à la porte, écrasant tout les espoirs du Major Williams de continuer d’exploiter son trafic de drogue, d’armes et son réseau d’espionnage à travers de cette compagnie. Largo Winch était maintenant leur ennemi commun et le moyen le plus efficace de combattre leur ennemi était de lui enlever son pouvoir…


Quelques rues plus loin, dans un appartement, de fins rayons ensoleillés traversaient les rideaux, réveillant John Sullivan de son lit. Il avait oublié de mettre son alarme la nuit précédente, trop fatigué après avoir fêté dans une de ces rares soirées que son vieil ami avait organisé. Il décida d’appeler au Groupe W pour vérifier ses messages et fut surpris que personne ne lui répondit…


fin de la traduction. Vous pouvez maintenant continer cette fic communautaire en rajoutant une ligne ou un paragraphe à votre goût.... Pesez sur reply...
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Alyssa
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MessagePosté le: 08 Nov 2003 03:02 am    Sujet du message: Répondre en citant

Sullivan raccrocha son téléphone – et au même moment il se remis à sonner.

- « John, qu’est-ce qui se passe au Groupe W ? » dit Largo.

- « Je ne sais pas. » répondit John. « Personne ne réponds. »

- « J’ai aussi essayé de rejoindre Kerensky. » répliqua Largo.


Sullivan fit une pause.

- « Quelque chose ne va pas – ca ne peut être qu’une coincidence. » dit-il.

- « Normalement John, je dirais que vous êtes paranoiaque. » dit Largo. « Mais aujourd’hui je suis enclin d’être d’accord avec vous. Restez où vous êtres. Si quelque chose se passe au QG du Groupe W, nous aurons besoin d’être à l’abri. J’espère que Kerensky pensera à vous contacter. On reste en contact et faites moi savoir s’il y a des changements. Ciao. »

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fio
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MessagePosté le: 17 Déc 2003 04:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pendant ce temps, à l'hôtel Palace Weitenburg en Allemagne, Kerensky et Jennifer étaient dans une petite chambre double pour deux. Ils mangeaient le ragoût local offert par l'hôtel accompagné de pains chauds qu'ils s'étaient fait monté dans leur chambre. Kerensky, se sentait très fatigué. Il observait Jennifer déguster avec plaisir chaque cuillerée de son ragôut sans dire un mot, puis il se forca à manger lui aussi. Quand il eut fini, il alla s'étendre sur le sofa.

- " Je vais faire une sieste maintenant, si ca ne te dérange pas." dit-il, en se couchant. "Le lit double est tout à toi." il rajouta avant de tomber dans un sommeil profond.

Trop génée pour protester, elle le laissa là et partit prendre une douche. Elle en avait vraiment besoin. L'eau chaude coulait sur son visage, mouillant ses boucles et les faisant coller à sa peau. Elle se savonna tout en pensant aux évènements qui s'étaient déroulés quelques heures auparavant quand soudainement elle fut prise de panique. Le coffret...
Elle n'avait pas vu Kerensky l'amener dans la chambre d'hôtel. Elle se pressa donc de finir sa toilette, se sécha puis pris la robe de chambre appartenant à l'hotel et l'enfila ainsi qu'une serviette qu'elle enroula autour de ses cheveux. Elle courut jusqu'au sofa et commenca à brasser avec colère le pauvre Kerensky, le propulsant hors du pays des rêves.

- "Réveillez-vous !" cria-t-elle. "Réveillez-vous Kerensky !"

Pris de peur et pensant qu'il était attaqué, Kerensky ouvrit instantanément ses yeux et instinctivement prit les bras de Jennifer, la propulsant sur le plancher.

- "Ouch ! Tu m'as fait mal !" se plaigna-t-elle en ramassant la serviette qui était tombée et qui laissait maintenant libres ses beaux longs cheveux mouillés.

- "Qu'est-ce qui se passe ?" demanda Kerensky, un peu irrité.

- "Où est mon coffret ?" dit-elle. "Je ne t'ai pas vu l'amener dans la chambre."

- "Oh, le coffret." dit-il. "Ne t'en fait pas, je m'en suis occupé.

- "Mais où est-il ?" demanda-t-elle encore.

- "Tu ne voudrais pas savoir." répiqua-t-il. "Pour ta propre sécurité. Mais t'en fait pas, il est en lieu sûr. Seulement essaie de ne pas perdre
la clé. Je suis désolé mais il va falloir que tu me fasse confiance. Tu me fais confiance, n'est-ce pas ?" demanda-t-il en la fixant dans les yeux.

- "Oui." répondit-elle, légèrement décue.

- "Maintenant, va te reposer." dit-il. "On a encore un long trajet à faire." Il alla fermer les rideaux et la lampe puis s'allongea sur le divan, mais juste avant, il la vit placer ses vêtements sur la chaise, s'enlever sa robe de chambre et se glisser sous les draps, nue.

Il fut réveillé encore une fois, 4 heures plus tard par quelques hommes qui l'observaient tout en pointant une mitraillette dans sa direction.

- "Où est la fille ?" dit l'un d'eux, de manière enragée.

Kerensky ne leur répondit pas. Il ne savait pas que Jennifer s'était réveillée une demi-heure avant leur arrivée et s'était permise de faire une courte marche, savourant la beauté de l'endroit...

- "Peut-être avez-vous besoin d'être convaincu ?" dit l'un des hommes, en faisant signe à son ami, qui lui, sortit une arme avec silencieux et tira dans la jambe de Kerensky...
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MessagePosté le: 28 Déc 2003 05:18 am    Sujet du message: Répondre en citant

Elle ne put s'empêcher de sortir de sa chambre d'hôtel. Surtout après avoir enfilé les mêmes vêtements qu'elle avait portés plusieurs heures auparavant. Elle avait remarqué dans l'une des boutiques au rez-de-chaussée un bel ensemble couleur pastel et elle avait très hâte de l'essayer. Elle avait donc ramassé sa sacoche et laissé le pauvre Kerensky, visiblement mort de fatigue, sur le sofa.

Sans faire de bruit, elle se dirigea vers la porte et jeta un dernier regard sur lui. Elle la referma silencieusement et s'en alla faire son premier achat de la journée avec une infime partie de l'argent de son héritage qu'elle avait pris soins d'amener avec elle.

Après avoir essayé les vêtements choisis dans la boutique, elle fit savoir à la vendeuse qu'elle désirait les garder sur elle. Elle les paya et la vendeuse vint lui enlever les étiquettes qui étaient accrochées à l'ensemble. Elle acheta aussi un genre de chapeau assorti qu'elle mit sur sa tête juste avant de sortir de la boutique.

Maintenant elle pouvait faire ce que bon lui semblait. Même laisser Kerensky derrière si elle le désirais. Elle avait attaché ses longs cheveux en queue de cheval et dissimulés sous son nouveau chapeau de manière à ce qu'elle eut un aspect méconnaissable. Mais elle ne pouvais pas s'en aller sans avoir d'abord récupéré son coffret. Elle sortit donc dehors pour voir s'il n'y aurais pas de chances qu'il l'aie laissé dans la voiture. Soudainement elle vit 2 types en train d'en forcer la serrure. Prise de panique, elle marcha calmement et se dirigea vers la réception. Encore là, il y avait plein de monde et un autre type d'allure suspecte qui la découragea. Elle prit l'ascenseur et se dirigea vers la chambre de Kerensky mais revint sur ses pas et alla dans l'autre direction du couloir lorsqu'elle appercut que la porte de la chambre était entrouverte.

Elle se cacha derrière un angle de mur et entendit au loin un coup de feu provenant de la chambre ainsi que la voix forte d'un homme.

- "Alors, vas-tu enfin nous dire où est la fille ? "

Kerensky ne lui répondit pas.

- "Tuez-les..." dit cet homme à son complice. "Et surveillez toutes les issues. La fille va bien finir par revenir. Elle a laissé sa mallette plein de vêtements..."

Jennifer entendit un autre coup de feu, puis encore un autre et un autre. Rapidement elle revint vers l'ascenseur et descendit au rez-de-chaussée. Il fallait qu'elle parte de là et vite.

Elle embarqua dans un taxi avec une veille dame qui avait attendu devant l'entrée et qu'elle avait réussi à convaincre de partager les frais après lui avoir demandé où elle allait.

Elle se sentit enfin en paix lorsque le taxi partit loin de l'hôtel et pu finalement laisser couler les larmes sur son visage.

- "Ca va aller ? " demanda la veille dame, cherchant un mouchoir dans sa sacoche et lui offrant.

- "Oui. Ce n'est rien." répondit Jennifer en séchant ses larmes. "Seulement des souvenirs d'un ami que j'ai perdu récemment. Ca ira...". Une demi-heure plus tard, elle s'endormit dans le taxi...



Kerensky fut réveillé de bonne heure de son brutal cauchemar par Simon. Il s'était endormi près avoir passé une longue soirée à faire des recherches sur une personne qu'il connaissait et qui était portée disparue et avec comme seule compagnie, une bouteille de vodka qu'il avait fini par caler. Maintenant il avait mal à plusieurs endroits

-"Réveille-toi Kerensky." lui avait dit Simon. "J'ai du boulot pour toi... Mais ma parole, tu m'as l'air d'avoir fait la fête..." dit-il en prenant la bouteille vide de vodka et en l'examinant de plus près. Il la remit ensuite à sa place.

- "Ouais, et j'ai fait tout un satané cauchemar..." dit Kerensky, heureux de voir que tout allait bien autour de lui et que son corps n'avait subi aucun dommage.

- "Bon, Largo m'attend." dit Simon en lui donnant un bout papier. Retrace-moi cet appel. Joy attend ta réponse. Juste une autre femme qui se prend pour la mère de Largo... Et tu veux entendre la bonne ? elle prétend qu'il a une petite soeur. C'est fou tout ces appels qu'on recoit depuis que la bio de Largo a été publié dans ce magazine..."


Le téléphone de Kerensky sonna encore.

- "Quoi ?" répondit Kerensky, un peu ennuyé.

- "T'es occupé ?" lui demanda Sullivan.

- "Comme d'habitude. Que puis-je faire pour toi ?"

- "D'où provient l'appel que je viens de recevoir ?"

- "Un instant." dit Kerensky. Un étrange sentiment de déjà vu lui fit peur. Encore plus lorsqu'il vit à l'écran que le numéro retracé provenait du Carnegie Deli...
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MessagePosté le: 16 Jan 2004 08:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Flashback, plusieurs années auparavant...

Il commencait à se faire tard lorsque la jeune Jennifer monta à bord du luxurieux yatch de croisière de son père. Elle savait qu'elle allait se faire gronder encore et elle n'était pas pressée. Sa mère était venue les rejoindre pour quelques semaines mais elle se doutait qu'avec le caractère que son père avait, qu'elle ne veuille y rester plus d'une semaine tout au plus. Elle n'avait que 8 ans et sa mère lui manquait terriblement pendant ces longs voyages d'affaires que son père, Johnathan Jones faisait et qu'elle était obligée d'endurer.

Elle s'approcha de la cabine et entendit la voix forte de son père en train de crier après quelqu'un.

- "Si tu n'es pas contente, tu sais où est la porte." dit-il.

- "Mais c'est aussi mon fils, Johnathan." dit Rachel.

- "J'ai aussi fait une promesse à Nério." répliqua-t-il. "Et ce n'est pas aujourd'hui que je vais la briser, femme !" cria-t-il, irrité.


"Un fils ?" pensa Jennifer, cachée proche de la porte. "Mais de quoi parlaient-ils donc ?"


- "Et où est donc encore passée Jen ?" cria son père, enragé. "Elle va être en retard pour la réception. Cet enfant bénéficierais sûrement d'un peu plus de discipline..."

- "Ne sois pas trop dur sur elle Johnathan." dit sa mère. "Ce n'est qu'une enfant."

- "Je te la confie une semaine et c'est comme ca que tu l'éduques ?" dit-il. "Trouve-la moi et prépare-la pour la réception de ce soir."

- "Tu sais comment elle se sent Johnathan quand tu la force à t'accompagner à ces réceptions..." dit Rachel.

Johnathan lui lanca un regard haineux.

- "C'est une Jones et elle va devoir se comporter comme une Jones." dit-il. "Après tout, elle ne manquera pas d'amis ce soir."


"Ouais..." pensa Jennifer. "Pleins de petits amis de familles riches pour s'amuser avec... Une autre réception, et encore une autre raison pour son père, nouvellement divorcé, de flirter, préférablement avec des demoiselles socialement et financièrement acceptables."

Tout d'un coup, une main toucha les épaules de Jennifer. Elle sursauta. Un des gardes armés que son père avait engagé l'avait surpris et lui fit signe de rentrer dans la cabine.

- "Ah, te voilà toi, petite peste !" dit son père. "Merci Max. On se demandait justement où elle était passée."

Max lui fit un signe puis sortit de la cabine. Ce fut à cet instant que son père la frappa, encore une fois...



...puis elle se réveilla de son cauchemar, en criant et en pleurant, effrayant la veille dame assise à côté d'elle dans le taxi. Encore tremblante, Jennifer s'excusa.

- "Ca ira." dit la vieille dame. "De toutes facon, nous sommes presque arrivées. Vous voulez toujours aller à New-York ?" lui demanda-t-elle, se rappelant de ce que Jennifer lui avait dit devant l’hôtel Palace Weitenburg...

- "Oui..." dit Jennifer. "Mais avant, je dois récupérer un objet qui m'appartient..."
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